lundi 30 avril 2007

Le P’tit Bal

Après quelques publicités en France, Belgique et Japon (dont notamment un spot pour Polaroïd qui remporte le Lion d’argent à Venise en 1990) et la pause Olympique, Découflé revient à la réalisation en 1994 avec Le P’tit Bal. Une vidéodanse parfaite et inventive qui se passe de commentaires…



Note:
note sur 6

vendredi 27 avril 2007

[Clip] She Drives me crazy (Fine Young Cannibals)

Un an après l'expérience True Faith, Philippe Decouflé signe son deuxième clip pour la chanson She Drives me crazy de Fine Young Cannibals.

Version courte


Remix de 7 minutes
Un montage un poil différent, un peu plus de danse et quelques personnages supplémentaires.

On retrouve ici tous les traits typiques de la réalisation du chorégraphe. Un gros travail sur la composition des plans et la profondeur de champ avec un personnage en amorce re-délimitant le cadre. Un jeu constant entre danse au medium filmique avec notamment les courtes séquences de Christophe Salengro plié en deux afin de rentrer dans le cadre, et certains danseurs qui apparaissent comme plaqués contre un écran de verre (l’objectif ?). Decouflé aime mettre ses danseurs en boite, redéfinir l’espace, limiter les mouvements par des contraintes extérieures. Au niveau de la danse on retrouve son style très articulaire jouant sur la répétition du mouvement.

Sans être parfait ce clip est à mon goût bien plus intéressant et maîtrisé que le précédent pour New Order.

Note:


jeudi 26 avril 2007

[Film] Steppin' (Sylvain White - 2007)

Stomp the Yard - USA, 2007

Catégorie: Film de danse
Réalisation: Sylvain White
Chorégraphies: Dave Scott, Chuck Maldonado
Avec: Columbus Short, Meagan Good, Ne-Yo, Darrin Dewitt Henson, Laz Alonso, Valarie Pettiford


A la suite d’une battle de street dance qui tourne mal, le frère de DJ se fait tuer. Après un court séjour en prison il quitte Los Angeles pour rentrer à l’une des universités les plus prestigieuses de Georgie, espérant laisser son passé derrière lui. Mais il découvre vite que les deux fraternités masculines du campus se livrent une bataille sans relâche à coup de pas de danse, le stepping…


Un énième film de danse qui, une fois de plus, brille par ses chorégraphies et pêche par son scénario totalement bateau et sans intérêt. Mais gros avantage ici (comparé à un Step up ou un Save the last dance) le scénario n’est qu’un prétexte, l’histoire d’amour conne est juste effleurée, le trauma vite laissé de côté, ça ne creuse rien en profondeur et finalement c'est pas plus mal ça évite le trop plein de scènes inutiles… Bref ça danse beaucoup et brut de décoffrage avec des chorégraphies de Stepping superbes.



Note:
note sur 6



La danse dans le film

Autre fait atypique les scènes de battle de hip-hop sont filmées comme des clips de groupe de raps, montrant plus l’énergie que ces chorégraphies dégagent plus que leur fonctionnement, ou leur technique. On a l’impression que le réalisateur nous dit "bon maintenant vous savez comment ça marche le hip-hop, on va pas rentrer dans les détails, seat back and enjoy". Ca montre bien l’évolution du statut de la street dance dans l'univers de la danse. Le hip hop est désormais montré comme un style de base (au même niveau que le classique, la danse modern’jazz ou la danse de salon) sur lequel on s’appuie pour développer autre chose là ou avant c’était le style qui était justement visé, celui qu’on essayait de construire à partir des autres, celui qu’on essayait d’intégrer. J’ai trouvé l’apport de ce film assez intéressant dans la cartographie des films de danse.

Dernier avantage, les danseurs sont pour une fois d’assez bons acteurs, principalement Columbus Short qu’on a pu voir dans Studio 60 par exemple… Quant à la réalisation, si elle reste très basique elle se montre très efficace efficace et ne gâche jamais le plaisir… Le film sortira en France le 16 mai.





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lundi 23 avril 2007

[Clip] True Faith (New Order)

Clip de la chanson True Faith du groupe anglais New Order, réalisé par Philippe Decouflé.



Une esthétique typique de Decouflé qui rappelle la vidéodanse Caramba ! à plus d’un titre. La danse y est cependant très peu existante et se résume à quelques sautillements et deux-trois jeux de jambes comme les affectionne le chorégraphe. Rien de bien transcendant, cependant le clip a remporté un MTV award anglais en 1988.

Note:


samedi 21 avril 2007

[Clip] 1 2 3 4 et autres clips (Feist)

Feist, vient de sortir le clip de son dernier single 1 2 3 4 issu de l’album The Reminder, sous forme de plan séquence chorégraphié. L’occasion de revenir sur les deux autres vidéos musicales dansées de cette demoiselle qui aime se trémousser et sautiller aussi bien derrière sa guitare que devant la caméra.


Mushaboom (version2) – 2004


Réalisé par Patrick Daughters


Petite chorégraphie en milieu de clip toute simple pleine d’humour jouant avec l’apesenteur qui place déjà les bases de ce que Patrick Daughters développera par la suite dans 1 2 3 4.

Note:





One Evening – 2004


Réalisé par George Vale


Ambiance club disco pour ce deuxième clip signé par le réalisateur de la première version de Mushaboom. Rien de follement original ou intéressant, la chorégraphie et le clip suivant mot à mot les paroles de la chanson.

Note:





1 2 3 4 – 2007


Réalisé par Patrick Daughters


Un Plan séquence au motion control impeccable pour une chorégraphie ludique à la fois millimétrée et décontractée. Le parfait exemple d’une collaboration réussie entre danse et medium filmique.

Note:


Merci à Captain John Boyd pour l'information.

jeudi 19 avril 2007

Codex le film

Codex, chez Decouflé, est avant tout le nom de la pièce créée en 1986 qui lui rapportera son premier grand succès public. Une pièce peuplée d’être étranges, mutants aux greffes multiples qui s’inspire de la structure et de l’iconographie du Codex Seraphinianus écrit entre 1976 et 1978 par Luigi Serafini. Decouflé juxtapose les chapitres tournant une à une les pages de cet ouvrage tourmenté. La pièce est devenue depuis une sorte de bible de l’univers du chorégraphe et a été reprise en 1995 (Decodex) puis en 2004 pour l’Opéra de Paris (Tricodex).

Quelques planches issues du Codex Seraphinianus







En 1987 après le succès de la pièce originale, Decouflé décide d’en faire une vidéodanse de 26 minutes tournée en 16mm. On y retrouve les mêmes mutants, êtres à la verticalité interchangeable, aux proportions radicales, amputés, greffés. Des personnages que l’outil filmique découpe, ausculte de plus près faisant ressortir les textures, les couleurs les sons. De chapitres en chapitres les planches anatomiques se multiplient entrecoupées de cartons écris dans un alphabet étrange prononcés dans une langue incompréhensible.

Les 26 minutes de cette vidéodanse se font parfois un peu trop sentir principalement à cause de sa construction en tableaux, mais elle regorge de quelques instants sublimes. Personnellement je retiens en particulier la scène d’introduction farfelue et un duo plein d’humour et de tendresse en noir et blanc entre Catherine Savy et Christophe Salengro.

YouTube ne permettant que des vidéos de 10 minutes, j’ai découpé les 26 minutes suivant les tableaux, ma remarque sur la longueur passant de ce fait à la trappe…

A noter pour les parisiens que Codex sera projeté dans le cadre du festival vidéodanse du Centre Pompidou le dimanche 22 avril à 13h dans la série De l'imaginaire des corps à l'invention de nouveaux mondes.





















Note:


mercredi 18 avril 2007

Danses et images actuelles à la cinémathèque de la danse

Mercredi 28 avril, la cinémathèque de la danse lance son nouveau pôle intitulé Danses et images actuelles avec en avant première Fantômes et vanités de Christian Rizzo.



Cliquez ici pour en savoir plus…

Egalement à lire au sujet de Fantômes et vanités un entretien avec Christian Rizzo paru dans mouvement.

La cinémathèque de la danse fête ses 25 ans du 18 au 24 avril

"Dans sa volonté de diversifier ses lieux de diffusion, La Cinémathèque de la Danse, à l’occasion de son 25e anniversaire, présentera pendant 7 jours et 7 soirées au cinéma La Pagode (Paris) des films célèbres, inoubliables, rares, voire inédits, des films que l’on aime… pour le plaisir."

Vous pouvez accéder au programme complet en cliquant ici.

dimanche 15 avril 2007

[Définition] Comédie musicale: les codes spécifiques au genre

"Comédie musicale" est un terme assez vaste qui prête souvent à confusion. Si la tendance actuelle est d’utiliser cette terminologie pour définir tout film ou spectacle comportant des scènes musicales, ce genre est en réalité bien plus codé.

La première grande caractéristique de la comédie musicale se trouve dans son montage bien particulier d’alternance entre scènes dialoguées et instants musicaux (qu’ils soient chantés et/ou dansés). Ainsi, ne sont pas considérés comme appartenant à la comédie musicale les films chantés de bout en bout (Les Parapluies de Cherbourg, Evita) ou ne contenant qu’un ou deux morceaux musicaux (Alison Forever, Beetlejuice), même si ces séquences utilisent d’autres éléments caractéristiques du genre. Une comédie musicale joue sans cesse sur le rapport entre les différentes parcelles qui la composent, développant un réel art de la transition. L’élément servant de liant entre musical et non-musical prend généralement deux formes. S’il se base régulièrement sur un prétexte scénaristique - une représentation scénique (la plupart des séquences musicales de Cabaret, Hindi Sad Diamonds dans Moulin Rouge!), une façon de réconforter un ami (Make Them Laugh dans Chantons sous la pluie), la reprise en cœur d’une chanson populaire (Meet Me in Saint Louis dans Le Chant du Missouri), une fête (les mariages de De-Lovely ou Brigadoon, le bal de Noël de Tout le monde dit I love you), etc. – il est souvent bien plus subtil et travaillé. Ne cherchant pas à justifier la présence d’une scène musicale, il laisse les mouvements et la musique parler d’eux-mêmes. On retiendra par exemple la démarche déambulatoire de Fred Astaire et Cyd Charisse qui, au son d’un orchestre lointain jouant dans le Park, se transforme peu à peu en pas de deux romantique lors du Dancing in the Dark de Tous en scène.

De ce premier code de l’alternance, et donc du travail de la transition, découle le second élément caractéristique du genre: un rapport d’interdépendance entre les mouvements des personnages et leur environnement sonore. Contrairement aux scènes dialoguées dans lesquelles son et musique servent d’habillement, ou sont le résultat d’actions produites par les personnages, dans les scènes de comédie musicale, les éléments sonores prennent quelques instants les commandes, comme s'ils dirigeaient désormais les mouvements et les paroles des protagonistes. La musique, créatrice de l’action, naît des bruits de la vie courante (un coup de tonnerre déclenche la mélodie du pas de deux Lovely Day entre Ginger et Fred dans Le Danseur du dessus, les bruits de machinerie emportent Selma dans ses rêveries dans Dancer in the Dark), des paroles ou des sons émis par les acteurs (la répétition des phrases de l’orthophoniste donne la cadence de Moses Supposes dans Chantons sous la pluie, les onomatopées des détenues du muderer’s row rythment le Cellblock Tango de Chicago), les emportant dans des séquences remarquables de danse et/ou de chant. L’une des meilleures représentations de cette interaction son/mouvement reste certainement l’utilisation des claquettes: les pas produisent la rythmique musicale sur laquelle l’acteur danse, créant un cercle infini, proche parent de la poule et de son œuf. Ne jouant pas sur cette notion d’interaction, les adaptations d’opéras et leurs dérivés (Carmen, Madame Butterfly), ainsi que les films mettant en scène des chanteurs ou des danseurs (Walk the Line, Flashdance), ne sont pas considérés comme des comédies musicales.

Les scènes musicales qui résultent de cette alternance et laissent régulièrement à la musique le soin de diriger les mouvements, deviennent éléments moteurs indispensables, pivots autour desquels se nouent les intrigues, vertèbres s’emboîtant pour construire la colonne du film. Si la première séquence musicale du film est généralement celle qui en fixe l’enjeu (de Dorothy qui chante une contrée imaginaire au-delà de l’arc-en-ciel avant de se retrouver au pays d’Oz, aux parents d’élèves qui tremblent de frayeur devant les méfaits de la marijuana présentés par un film de propagande dans Reefer Madness), les suivantes servent à en coudre la trame. Certains diront que cette mise en scène récurrente de chorégraphies millimétrées et tours de chant parfaits, sortis d’on ne sait où et souvent interprétés en nombre comme par magie, touche à de la pure invraisemblance. Pourtant c’est bien du réel dont s’inspirent ces séquences; elles laissent transparaître à l’écran les émotions des personnages, leurs envies, leurs états d’âme. La comédie musicale a cette particularité de révéler au public, par le biais de cette conjonction artistique aux apparences irréelles, ce qui d’habitude reste caché ou nécessite de longs dialogues/monologues, des explications lourdes de sens, des lettres laissées au coin d’une table, ou une voix-off parfois maladroite. Danse et chant deviennent alors à la fois des catalyseurs de sentiments destinés à renseigner le spectateur et faire avancer l’intrigue, mais également des outils cathartiques intradiégétiques, défouloirs physiques et spirituels pour des personnages qui ne nient jamais avoir entonné quelques notes ou esquissé des pas de danse.


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Ce texte est extrait du dossier réalisé pour FilmDeCulte sur la comédie musicale hollywoodienne.





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A propos de la notion de genre cinématographique

Posons le d’emblée, il n’existe pas de définition générale récursive d’un genre cinématographique[1] à proprement parler. Un genre cinématographique est une catégorie empirique qui sert à nommer, classer, distinguer des œuvres filmiques contenant à la fois un même ensemble d’éléments sémantiques et une structure narrative commune dans laquelle ces éléments s’insèrent. Cependant, il ne faut pas considérer un genre comme une boîte étanche dans laquelle on rangerait un groupe de films. Les genres ne sont pas fixes, ils ne cessent d’évoluer, de s’éteindre, de ressusciter, non seulement à chaque nouveau film produit, à chaque nouveau genre mis en place, mais également en fonction du contexte socio-économique et spatio-temporel. Les limites entre les différentes catégories génériques et leurs degrés de précision sont donc très variables. De même, il ne faut pas considérer les genres comme des structures textuelles, des modèles d’écritures prédéfinis auxquels se conformeraient les réalisateurs et producteurs pour créer leurs films. De par sa dialectique de standardisation (répétition de traits caractéristiques) / innovation (variation de et autour de ces traits), le genre cinématographique s’apparente à une formule communicative qui permet aux créateurs de fournir aux spectateurs un contexte d’interprétation du film à la fois structuré et ouvert. Le genre organise ainsi chez le spectateur des attentes basées sur sa connaissance générique, qui seront mises à l’épreuve lors de la vision du film.

Comme je l’ai déjà souligné dans mon introduction à cette section, les définitions de genres cinématographiques que j’essaye de mettre en avant ici ne sont donc en aucun cas exclusives.


--------------- Notes ------------------

[1] Ce paragraphe sur le genre cinématographique se base sur la lecture de l’ouvrage Les Genres du cinéma, Raphaëlle MOINE, Nathan Cinéma, Lassay-les-Châteaux, 2002.

Introduction Dernier Chaperon rouge (suite) - Les créateurs 2

Carlo de Boutiny – Co-scénariste, auteur des textes et dialogues

Scénariste dans des domaines très variés (allant du court-métrage aux films d’animation pour enfant), ancien assistant réalisateur, fondateur de La Gazette des scénaristes et professeur au conservatoire Européen de scénario, Carlo de Boutiny collabore avec Jan Kounen depuis les débuts du réalisateur. Co-scénariste de tous ses courts métrages et clips musicaux, il a également développé à ses côtés un projet de série télévisée dérivée de Gisèle Kérozène, le scénario d’une BD autour du personnage de Vibroboy et a été l’un des multiples auteurs rattaché au scénario de Blueberry. Pour Le Dernier Chaperon rouge, il s’est attelé, pour la première fois, à l’écriture de textes de chansons. Il est également à l’origine de la rencontre entre Jan Kounen et Philippe Découflé, ayant déjà travaillé avec le chorégraphe lors d’un projet de long métrage qui a été abandonné, Les Chasseurs de courants d’air[1].


Philippe Découflé – Chorégraphe, interprète

[C’est déjà ici..]


Marc Caro – Design et interprétation du Monstre[2]

Dessinateur spécialisé dans la bande dessinée ayant fait ses armes dans le magazine Metal Hurlant[3], pour lequel il était également rédacteur, Marc Caro a approché l’univers du cinéma, et des arts du spectacle en général, par la fonction de « designer ». Il a ainsi collaboré avec de nombreux artistes dont notamment Philippe Découflé pour Tranche de Cake et Novembre (dont il a écrit les musiques avec son groupe Parazite), Trio épouvantable et les J.O. d’Albertville, Régine Chopinot pour la réalisation des vidéo danses Rude Raid et Le Défilé, le groupe Indochine ou encore Jean-Pierre Jeunet. Avec ce dernier il co-réalisera des petits films d’animation, les longs métrages Delicatessen et La Cité des enfants perdus, et dessinera les costumes de Alien, La résurection. Il rencontre Jan Kounen au début des années 90 qui lui propose de réaliser le design du personnage de Vibroboy. Pour Le Dernier Chaperon rouge, il a créé le Monstre de toutes pièces ainsi que ses accessoires - dont l’hypnotron et les armatures des jambes de la Vieille Dame - et a accepté d’en interpréter le rôle. Marc Caro a retrouvé Jan Kounen sur Blueberry en tant que designer.

--------------- Notes ------------------

[1] Liste des œuvres chorégraphiques et filmiques réalisées par Philippe Découflé citées dans le mémoire en Annexe 6.
[2] Voir Annexe 3.2.
[3] Métal Hurlant, Les Humanoïdes associés, 1975-1987


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- PDF contenant le plan du mémoire et le début d'introduction
- PDF contenant les annexes de ce début d'introduction
- PDF du glossaire

mercredi 11 avril 2007

Festival Vidéodanse 2007 à Pompidou du 11 avril au 7 mai

Pour son 25eme anniversaire, le festival Vidéodanse du Centre George Pompidou propose une programmation très riche et variée étalée sur trois semaines et qui traverse tout le spectre de la danse au cinéma. On y retrouve bien sur des vidéodanses mais également des comédies musicales, des documentaires, des clips, des films de danse ou avec de la danse.

A ne pas rater !

Vous trouverez le programme complet en cliquant ici.

lundi 2 avril 2007

Boogie Woogie – What are you IN 2

Pour lancer son nouveau parfum CKin2U, Calvin Klein avait proposé un concours de courts métrage au près des écoles de cinéma américaines ayant pour thème What are you IN 2. Les dix séléctionnés viennent tout juste d'être révélés sur leur site. Parmi eux la vidéodanse Boogie Woogie réalisée en stop motion avec deux mannequins en bois articulés engagés sur une piste de danse. Un petit court métrage frais et humoristique sans prétention qui offre une gamme de pas de danse assez variés compte tenu de la technique cinématographique utilisée. On retrouve aussi bien des micro mouvements articulaires, filmés généralement en gros plans, que des enchaînements plus élaborés tapant dans la valse, le tango ou même le smurf. Pour regarder la vidéo cliquez ici. Notez qu’en en raison d’une forte compression, cette vidéo est d’assez mauvaise qualité.














On notera dans cette sélection un autre court métrage utilisant quelques pas de danse, Veil. Mais il se montre beaucoup plus basique dans ses idées et sa réalisation qui devient parfois quelque peu chaotique.

Note:

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