[TV] Glee – Episode 4, Saison 1: Preggers
A suivre… Glee, Saison 1
Pour essayer de cacher son homosexualité à son père, Kurt décide d’intégrer l’équipe de football du lycée. En traitant le terrain de foot comme une scène il va apporter une nouvelle approche de l’entrainement à l’équipe. Parallèlement Quinn annonce à Finn qu’elle est enceinte ce que Terri considère comme une parfaite opportunité pour continuer à cacher sa non grossesse à Will, Sue écope de son propre show dans une émission télé locale et s’associe avec Sandy pour essayer de détruire le Glee Club et Rachel se vexe quand Mr. Shue donne un solo à Tina.
Un épisode assez atypique dans sa construction qui ne nous montre finalement pas grand-chose du Glee Club. A part les divergences entre Rachel et Tina, toutes les séquences musicales vont tourner autour de Kurt et de la reprise exclusivement dansée de Single Ladies de Beyoncé. J’aime bien cet épisode, et j’aime bien cette idée d’avoir utilisé une chanson comme fil directeur.
Les scènes dansées
Dès l’ouverture de l’épisode nous avons donc droit à une reprise de la chorégraphie de Single Ladies par Kurt, Tina et Britany dans le garage de Kurt. Le tout filmé pratiquement intégralement en noir et blanc, évidemment. J’aime beaucoup la réalisation ici qui trouve les bons angles tout en parodiant le clip original.
Cette idée de reprise de la chorégraphie de Beyoncé est donc suivie pendant tout l’épisode, avec trois autres scènes. Tout d’abord Kurt qui s’échauffe sur le terrain de football en utilisant les mêmes mouvements.
Puis Kurt et Mr. Schue qui essayent d’apprendre la chorégraphie aux membres de l’équipe et enfin l’équipe de football qui exécutent ladite chorégraphie sur le terrain, face à leurs adversaires.
2 commentaires:
C'était un chouette épisode ça, surtout la scène-révélation pas du tout chantée-dansée entre Kurt et son père, très émouvant.
Blythe > Oui très bien cette dernière scène. Et c'est dans ces moments là que je me dit que la série a vraiment besoin de ménager des moments de la sorte et de ne pas faire tout le temps dans le trop plein.
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