Cœur de pierres
Cette semaine dans le cadre du Rallye müvimedia (organisé par le site de reportages de voyage Müvimedia) un reportage-vidéodanse intitulé Cœur de pierres. (cliquez sur le lien pour regarder la vidéo).
Vous vous en doutez peut-être, je ne suis pas tombée dessus par hasard, j’ai été aiguillée sur ces pages par Sophie, la "ballerine", alors qu’elle sortait juste du tournage, il y a un petit mois. Dur pour moi alors d’être objective face à un univers qui me parle et me manque (un vieux village de l’Hérault, mon amie Sophie dans son joli tutu plateau). Mais essayons quand même…
Je trouve que la réalisatrice Lawrence a un style très marqué, très poétique. Elle a du talent, c’est certain. Elle laisse de côté l’aspect typique du reportage pour ici nous offrir ce qui s’apparente plus à de la vidéodanse. Un défaut dans un concours de type rallye de reporters? Difficile de se décider. D’un côté il y a ces jolis plans, ces cadres bien travaillés, la sensation de rêve et cette envie de ne pas rester dans le conventionnel plan plan et rébarbatif que peuvent avoir certains documentaires. L’intention est bien palpable. De l’autre il y a, comme ici, le risque de franchir la limite et de donner aux instants d’entretiens, de reportage pur, une sensation de cheveux sur la soupe. Comme si ils avaient été rajoutés au montage pour justifier la place de ce court métrage dans ce concours.
Note:
Vous vous en doutez peut-être, je ne suis pas tombée dessus par hasard, j’ai été aiguillée sur ces pages par Sophie, la "ballerine", alors qu’elle sortait juste du tournage, il y a un petit mois. Dur pour moi alors d’être objective face à un univers qui me parle et me manque (un vieux village de l’Hérault, mon amie Sophie dans son joli tutu plateau). Mais essayons quand même…
Je trouve que la réalisatrice Lawrence a un style très marqué, très poétique. Elle a du talent, c’est certain. Elle laisse de côté l’aspect typique du reportage pour ici nous offrir ce qui s’apparente plus à de la vidéodanse. Un défaut dans un concours de type rallye de reporters? Difficile de se décider. D’un côté il y a ces jolis plans, ces cadres bien travaillés, la sensation de rêve et cette envie de ne pas rester dans le conventionnel plan plan et rébarbatif que peuvent avoir certains documentaires. L’intention est bien palpable. De l’autre il y a, comme ici, le risque de franchir la limite et de donner aux instants d’entretiens, de reportage pur, une sensation de cheveux sur la soupe. Comme si ils avaient été rajoutés au montage pour justifier la place de ce court métrage dans ce concours.
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